L’investissement pour la biodiversité et la restauration écologique est apparu dans le journal officiel au début de l’année 2012. L’objectif à atteindre étant de subvenir aux projets ayant pour activité de favoriser la protection du système écologique, ainsi que la sauvegarde des systèmes qui sont déjà sur place. Le fond en question doit aussi soutenir des projets de réaménagement et des reformes proposé par les organismes environnementales que ce soit dans un espace rural ou urbain. Pour le jour de commencement, un chiffre à une vingtaine de millions d’euros est à investir afin de renouveler et de donner une continuité aux projets déjà mis en place.
La source de ces fonds pour appuyer les projets y afférant
Le budget d’investissement résulte du budget de l’Etat en fonction de la disponibilité des crédits relatifs à cet objectif. Les appels d’offres financiers sont livrés suite à la décision du ministère de l’environnement après avoir consulté les suggestions d’une cellule observatrice, réunissant des experts et des scientifiques spécifiés dans le domaine de l’écologie et ainsi que des fonctionnaires travaillant au sein du cette ministère même et des personnes privés issus de l’association national « Trames verte et bleue ».L’ensemble de cette cellule se coordonne pour atteindre l’objectif fixé pendant une période de cinq ans. D’après le décret, elle a droit à toutes recommandations si une éventuelle modification s’avère être nécessaire lui permettant d’améliorer le projet. Chaque modification d’utilisation de budget doit être suivie par un bilan annuel.
La meilleure condition pour préserver la biodiversité
Restaurer les zones dégradées permettrait de réduire la perte subie au niveau de sa biodiversité et ainsi rendre facile la récupération des services éco-systémiques comme le stockage du carbone ou l’amélioration de la qualité de l’eau. D’après l’étude, cette récupération est plus conséquente dans des endroits où la présence de l’homme est quasi-inexistante, que ce soit dans la flore ou la faune.