L’objectif ici est de dissuader les futurs acquéreurs afin de placer leur véhicule à proximité d’une ville comme dans des parcs relais. Pour les habitants résidant aux alentours, le mieux serait d’opter pour des parkings souterrains, pour prendre ensuite un vélo ou le tram. Les problématiques d’essor durable sont formellement prises en compte dans l’élaboration du projet territorial, qui favorise le développement durable.
Les préoccupations écologiques de la communauté d’agglomération
Ainsi, plusieurs détails ont été méticuleusement réfléchis. Notons qu’un bilan carbone a mis en évidence qu’il faut compter douze ans avant que les émissions de gaz carbonique liées aux travaux du tram ne se dissipent. Le nombre d’arbres sera revu à la hausse tout au long de l’itinéraire du tram. Puis, l’eau provenant du pompage des parkings souterrains et des piscines municipales sera utilisé pour arroser les pelouses. L’eau de pluie servira par la suite du nettoyage des trams, afin de faire une économie de près de 10 000 m3 par an. L’entretien de l’ensemble de la construction se fera grâce à des matériaux de récupération. Concernant le chauffage de bâtiments, un réseau de chaleur se chargera de transformer les eaux usées. Enfin, le dépôt bus-tram sera muni de panneaux solaires constituant convenablement d’énergie pour compenser la consommation électrique des trams. Une fois les trams mis en service, des bus hybrides prendront petit à petit la place des véhicules déjà installés.
Les tactiques et arrangement pour obtenir des financements
Installer de tel projet demande un financement énorme. Il faut compter 398 millions d’euros pour atteindre cet objectif. Ainsi, l’appel à des financements suffragants a été réalisé. A travers le fonds structurel FEDER ou Fonds Européen de Développement Région, l’Union Européenne a pu participer grandement à la réalisation de ce projet. Le département de Côte d’Or a également apporté sa contribution. En gros, une fois terminé, ces trams pourraient être très bénéfique pour la région.