Il est vrai que c’est un placement prometteur, mais en le combinant avec la maîtrise de l’énergie positive, les résultats peuvent être optimisés au maximum. Pour les années à venir, cette activité peut faire le bonheur les PME du secteur tertiaire. Allons savoir pourquoi.
Un placement très peu couteux et garanti
Pour équiper un bâtiment de panneaux solaires photovoltaïque, et en obtenir une productivité financière ultra performante, il n’y a nul besoin de dépenser une fortune. Tout est possible dès la somme modique de 5000 euros après une souscription à la SEP (Société en Participation). Et puisqu’il s’agit d’un financement régi par l’article L.314-1 du code de l’énergie, il fait l’objet d’une promesse d’achat ferme. Autrement dit, la somme investie doit être restituée par la SEP en totalité à l’échéance qui peut varier de 5 à 12 ans selon le contrat.
Une activité non imposable et sans charges supplémentaires
La fiscalité n’a pas d’emprise sur cette activité. Du moins, durant 14 ans. Tout cela grâce à la SEP qui s’occupe de toutes les charges ainsi que de la déduction des frais et de l’amortissement du matériel. De plus, elle ne requiert aucun frais de gérance. Puisqu’il s’agit d’une épargne écologique, c’est un excellent placement sur le long terme (30 ans) permettant de percevoir des loyers nets d’impôts.
Des avantages tangibles
Non seulement, l’utilisation des centrales photovoltaïques contribue à la préservation de l’environnement, mais elle permet aussi aux collectivités ainsi qu’aux industries de réduire à néant la facture d’électricité. Mais ce n’est pas tout, les immeubles capables de produire de l’électricité grâce à des panneaux solaires photovoltaïques peuvent gagner jusqu’à 8 % de rendement annuel. Oui, les investisseurs peuvent générer des revenus de 5 % à 8 %. Pour cela, ils doivent tout simplement louer mensuellement ou annuellement l’énergie produite et le tour est joué.